IVRAF FA 0119 : Ecole communale de Fatick : Différence entre versions

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IVRF_FA_0119
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=== Date d'enquête ===
 
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Ecole
  
 
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Ecole communale de Fatick
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Ecole Ndouck
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Ecole Moustapha Baïdy Bâ
  
 
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Patrimoine matériel
  
 
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Colonialisme
  
 
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Fatick
  
 
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Fatick
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Ndouck
  
 
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Ecole élémentaire Moustapha Baïdy BA, quartier Ndouck, Fatick
  
 
===Références cadastrales (le cas échéant)===
 
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''Latitude :''
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Latitude : 14° 19’ 00.12 Nord
  
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===Acteur(s)===
 
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Administration coloniale française
  
 
===Date/période de réalisation===
 
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''Date portée, inscription, tradition orale, autre''
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1927
  
 
===Historique===
 
===Historique===
  
  ''Texte libre. Relever les « Sources » (page 4) à chaque fois que cela est possible (études antérieures, tradition orale, autre)''
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Pendant la colonisation, la scolarisation des enfants étaient au cœur des priorités. En effet, dans les année 1800, certaines filles et certains garçons étaient scolarisés la plupart du temps dans les écoles des missionnaires français. Les sœurs missionnaires avaient la charge de l’éducation des filles tandis que les frères missionnaires assuraient l’enseignement des garçons. Filles et garçons étaient alors scolarisés dans des écoles distinctes.
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Si, à ces début l’école avait pour principal but la christianisation des colonisés, ce ne fut plus le cas lorsque Faidherbe devint gouverneur au Sénégal. Il réclamait de l’innovation dans l’école en exigeant aux instituteurs une propagande de la langue française pour des raisons commerciales et culturelles. En effet, les colonisés apprenaient l’histoire et la géographie de la métropole sans aucune adaptation au niveau local. C’était un enseignement assimilationniste que les instituteurs s’efforçaient de transmettre à leurs élèves.
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Cet objectif d’assimilation se retrouve dans les propos de Georges Hardy, chef de cabinet du ministre de l’Instruction publique lors d’un congrès en 1931 à Paris sur l’adaptation de l’enseignement. Il disait a cet effet : « La France ne demande pas qu’on lui procure en série des contrefaçons d’Européens. Elle a besoin pour la servir d’êtres qu’on n’ait pas dépouillés  de leur être même et qui viennent à sa langue, à sa pensée, à son génie, moins en se supprimant qu’en se dégageant… Faites que chaque enfant né sous votre drapeau tout en restant homme de son continent, de son île, de sa nature soit un vrai Français de langue, d’esprit, de vocation !»
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En outre, la loi 1901 finit avec l’enseignement congréganiste qui ne correspondait pas à la société sénégalaise. Le gouvernement prônait alors un enseignement laïc et républicain. On assista à une multiplication des écoles au Sénégal même dans les zones sous protectorat dont Fatick fit partie.
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En effet, érigée en commune en 1917, Fatick, bénéficia de sa première école de quatre classes en 1927. Des français comme Chaste et des dignitaires sénégalais tel que l’ancien député Mamadou Dia ont eu à occuper le poste de directeur de cette première école de la capitale du Sine.
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Par ailleurs, on est aujourd’hui loin des quatre classes d’origine de cette ancienne école communale. Les classes ont augmenté, la structure a changé et l’école dispose d’un patronyme. On ne parle plus d’école communale, ni d’école Ndouck, mais de Moustapha Baïdy Bâ.
  
 
===Description===
 
===Description===
  
  ''Texte libre''
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L’ancienne école communal de Fatick, communément connue sous le nom d’école Ndouck, en référence au quartier dans lequel elle est basée, est clôturée par un mur en maçonnerie. L’accès à l’école se fait via une porte cochère assurant l’entrée principale dont on peut y lire l’actuel nom de l’école. L’école appelée aujourd’hui Moustapha Baïdy Bâ abrite deux bâtiments construits à l’époque coloniale en plus de ses plusieurs autres bâtiments modernes. Le premier, composé de quatre classes date de 1927 et le second bâtiment avec ses trois classes est construit en 1957. 
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Le premier bâtiment datant de 1927 est caractérisé par sa toiture en tôles ondulées et ses galeries hors œuvre que l’on retrouve au niveau des façades antérieure et postérieure. Des poteaux en maçonnerie longent les galeries. Les différente fenêtres, de couleur verte sont en encadrement de pierre de taille. Quant aux portes, de couleur verte, elles disposent de chambranles. De la peinture de ce bâtiment colonial, il ne reste plus que les vestiges de badigeon.
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La façade principale comprend plusieurs marches permettant d’accéder à la galerie et aux salles de classes. C’est une façade avec des baies persiennes en fer forgé agrémentées d’impostes.
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L’élévation postérieure est marquée par ses portes piétonnes en fer forgé.
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Quant au bâtiment construit trente ans après le premier bâtiment colonial, il est caractérisé par sa toiture en tôles ondulées et ses galeries hors œuvres au niveau des élévations antérieure et postérieures. Sur ses deux façades l’on distingue des ajours en maçonnerie. Les baies des différentes façades du bâtiment sont des persiennes rouges en fer forgé.
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Malgré les quelques réfections qui leur ont été apportées, les bâtiments de l’ancienne école communale ou école Ndouck ont gardé leurs allures initiales de constructions coloniales. En effet, briques rouges, tôles ondulées, fer forgé, bois … sont les différents matériaux de construction.  
  
 
===Croquis (le cas échéant)===
 
===Croquis (le cas échéant)===
  
''De l’ensemble patrimonial et/ou de sa position dans son environnement''
 
  
 
===État sanitaire===
 
===État sanitaire===
  
''Très bon, bon, passable, mauvais.''
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Passable
 
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''Valeur patrimoniale :''
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===Lieux associés (autour de la même thématique)===
 
===Lieux associés (autour de la même thématique)===
  
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France (pays d’origine des administrateurs français)
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Inspection médicale des école (ancien logement de fonction des directeurs de l’école communale)
  
 
=='''''Culture(s) orale(s) en lien avec l'ensemble patrimonial'''''==
 
=='''''Culture(s) orale(s) en lien avec l'ensemble patrimonial'''''==
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===Anecdote(s),discours,impression(s)sur l'ensemble patrimonial===
 
===Anecdote(s),discours,impression(s)sur l'ensemble patrimonial===
  
===Utilisation(s) actuelle(s)de l'ensemble patrimonial===
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===Fonction(s) initiale(s) et utilisation(s) actuelle(s)de l'ensemble patrimonial===
  
''Utilisation de l’espace, gestes associés''
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Fonctions initiales : école, lieu d’habitation
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Utilisations actuelles : école, lieu de mémoire
  
 
===Statut et signification actuelle de l'ensemble patrimonial===
 
===Statut et signification actuelle de l'ensemble patrimonial===
  
''Propriété publique, propriété privée, classé monument historique, à classer, représentation (lieu de mémoire ou non)''
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Statut : propriété publique de l’Etat du Sénégal
  
===Informations complémentaires sur l'ensemble patrimonial===
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Signification actuelle :  L’ancienne école communale de Fatick, est un patrimoine colonial important car elle a joué un rôle fondamentale dans la société. Ce fut et reste un lieu d’apprentissage favorisant le vivre ensemble et l’ouverture d’esprit. 
  
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===Informations complémentaires sur l'ensemble patrimonial===
  
 
=='''''Sources'''''==
 
=='''''Sources'''''==
  
 
===Bibliographie===
 
===Bibliographie===
 
''Dans le cas d’une publication : NOM DE L’AUTEUR (Prénom de l’auteur), Titre de la référence, lieu d’édition/de conservation, éditeur/organisme de
 
conservation, n° éventuel, année, pages ... à … Dans le cas d’un témoignage oral : NOM et Prénom de l’auteur, lieu, référence éventuelle à un témoignage enregistré''
 
  
 
===Tradition orale===
 
===Tradition orale===
  
''Indiquer le vecteur de transmission (griot, historien…)''
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AGNE Babacar Falis, chef de service de l’inspection médicale de Fatick
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DEME Yoro, agent au Conseil Régional de Fatick
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DIALLO Doudou, adjoint au maire de Fatick
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GOMAR Ndane, expéditionnaire à la retraite, quartier Ndiaye Ndiaye, Fatick
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NDIAYE Barthélémy, directeur de l’école Moustapha Baïdy
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NDIAYE Djibril, menuisier à la retraite, quartier Ndiaye Ndiaye, Fatick
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NDIAYE Ngor, deuxième adjoint au maire de Fatick
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SAMB Ablaye, ancien employé municipal et notable à Fatick
  
 
===Sources écrites===
 
===Sources écrites===
  
''Archives, édition de textes''
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BONNARDEL Régine, ''Saint-Louis du Sénégal : mort ou naissance ?'', l’Harmattan, 1992, 423 p.
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BOUCHE Denise, ''Autrefois notre pays s’appelait la Gaule… : remarques sur l’adaptation de l’enseignement au Sénégal de 1817 à 1960'', Cahiers d’Etudes Africaines.
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FALL Amadou, ''L’école au Sénégal : la question de l’adaptation. Histoire d’une problématique récurrente de 1817 à nos jours'', thèse de doctorat de 3e cycle, Faculté des lettres et sciences humaines, département d’histoire, UCAD, 2002.
  
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INSPECTION DES ECOLES DU SENEGAL,  ''L’enseignement primaire au Sénégal de 1903 à 1920'', rapport, J27 à J32, Faculté des lettres et sciences humaines, département d’histoire, UCAD
  
 
=='''''Illustrations'''''==
 
=='''''Illustrations'''''==
  
 
===Photographies actuelles===
 
===Photographies actuelles===
 
''Sous plusieurs angles, si justifié''
 
  
 
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===Documents anciens (photographies, peintures, gravures...)===
 
===Documents anciens (photographies, peintures, gravures...)===
 
'' Préciser le(s) lieu(x) de conservation, y compris dans le cas de collections personnelles''
 
  
 
===Dessins/croquis===
 
===Dessins/croquis===
  
  
[[Catégorie:Modèle_dossier]]
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[[Catégorie:Ecole]]

Version actuelle en date du 23 juin 2013 à 21:20

Ecole communale de Fatick

Références du dossier documentaire

Numéro du dossier

IVRAF_FA_0119

Date d'enquête

23/02/2013

Nom et prénom de l'enquêteur

FAYE Selbé

Désignation

Dénomination(s) actuelle(s)

Ecole

Appellations successives

Ecole communale de Fatick

Ecole Ndouck

Ecole Moustapha Baïdy Bâ

Type de patrimoine

Patrimoine matériel

Thématique

Colonialisme

Localisation

Département

Fatick

Commune

Fatick

Quartier

Ndouck

Adresse

Ecole élémentaire Moustapha Baïdy BA, quartier Ndouck, Fatick

Références cadastrales (le cas échéant)

Section :.......... N° parcelle(s) :..........

Géolocalisation

Latitude : 14° 19’ 00.12 Nord


Longitude : 16° 25’ 00. 12 Ouest

Historique et description

Acteur(s)

Administration coloniale française

Date/période de réalisation

1927

Historique

Pendant la colonisation, la scolarisation des enfants étaient au cœur des priorités. En effet, dans les année 1800, certaines filles et certains garçons étaient scolarisés la plupart du temps dans les écoles des missionnaires français. Les sœurs missionnaires avaient la charge de l’éducation des filles tandis que les frères missionnaires assuraient l’enseignement des garçons. Filles et garçons étaient alors scolarisés dans des écoles distinctes.

Si, à ces début l’école avait pour principal but la christianisation des colonisés, ce ne fut plus le cas lorsque Faidherbe devint gouverneur au Sénégal. Il réclamait de l’innovation dans l’école en exigeant aux instituteurs une propagande de la langue française pour des raisons commerciales et culturelles. En effet, les colonisés apprenaient l’histoire et la géographie de la métropole sans aucune adaptation au niveau local. C’était un enseignement assimilationniste que les instituteurs s’efforçaient de transmettre à leurs élèves.

Cet objectif d’assimilation se retrouve dans les propos de Georges Hardy, chef de cabinet du ministre de l’Instruction publique lors d’un congrès en 1931 à Paris sur l’adaptation de l’enseignement. Il disait a cet effet : « La France ne demande pas qu’on lui procure en série des contrefaçons d’Européens. Elle a besoin pour la servir d’êtres qu’on n’ait pas dépouillés de leur être même et qui viennent à sa langue, à sa pensée, à son génie, moins en se supprimant qu’en se dégageant… Faites que chaque enfant né sous votre drapeau tout en restant homme de son continent, de son île, de sa nature soit un vrai Français de langue, d’esprit, de vocation !» En outre, la loi 1901 finit avec l’enseignement congréganiste qui ne correspondait pas à la société sénégalaise. Le gouvernement prônait alors un enseignement laïc et républicain. On assista à une multiplication des écoles au Sénégal même dans les zones sous protectorat dont Fatick fit partie.

En effet, érigée en commune en 1917, Fatick, bénéficia de sa première école de quatre classes en 1927. Des français comme Chaste et des dignitaires sénégalais tel que l’ancien député Mamadou Dia ont eu à occuper le poste de directeur de cette première école de la capitale du Sine. Par ailleurs, on est aujourd’hui loin des quatre classes d’origine de cette ancienne école communale. Les classes ont augmenté, la structure a changé et l’école dispose d’un patronyme. On ne parle plus d’école communale, ni d’école Ndouck, mais de Moustapha Baïdy Bâ.

Description

L’ancienne école communal de Fatick, communément connue sous le nom d’école Ndouck, en référence au quartier dans lequel elle est basée, est clôturée par un mur en maçonnerie. L’accès à l’école se fait via une porte cochère assurant l’entrée principale dont on peut y lire l’actuel nom de l’école. L’école appelée aujourd’hui Moustapha Baïdy Bâ abrite deux bâtiments construits à l’époque coloniale en plus de ses plusieurs autres bâtiments modernes. Le premier, composé de quatre classes date de 1927 et le second bâtiment avec ses trois classes est construit en 1957.

Le premier bâtiment datant de 1927 est caractérisé par sa toiture en tôles ondulées et ses galeries hors œuvre que l’on retrouve au niveau des façades antérieure et postérieure. Des poteaux en maçonnerie longent les galeries. Les différente fenêtres, de couleur verte sont en encadrement de pierre de taille. Quant aux portes, de couleur verte, elles disposent de chambranles. De la peinture de ce bâtiment colonial, il ne reste plus que les vestiges de badigeon. La façade principale comprend plusieurs marches permettant d’accéder à la galerie et aux salles de classes. C’est une façade avec des baies persiennes en fer forgé agrémentées d’impostes. L’élévation postérieure est marquée par ses portes piétonnes en fer forgé.

Quant au bâtiment construit trente ans après le premier bâtiment colonial, il est caractérisé par sa toiture en tôles ondulées et ses galeries hors œuvres au niveau des élévations antérieure et postérieures. Sur ses deux façades l’on distingue des ajours en maçonnerie. Les baies des différentes façades du bâtiment sont des persiennes rouges en fer forgé.

Malgré les quelques réfections qui leur ont été apportées, les bâtiments de l’ancienne école communale ou école Ndouck ont gardé leurs allures initiales de constructions coloniales. En effet, briques rouges, tôles ondulées, fer forgé, bois … sont les différents matériaux de construction.

Croquis (le cas échéant)

État sanitaire

Passable

Lieux associés (autour de la même thématique)

France (pays d’origine des administrateurs français)

Inspection médicale des école (ancien logement de fonction des directeurs de l’école communale)

Culture(s) orale(s) en lien avec l'ensemble patrimonial

Légende(s) et/ou mythe(s) associé(s)

Anecdote(s),discours,impression(s)sur l'ensemble patrimonial

Fonction(s) initiale(s) et utilisation(s) actuelle(s)de l'ensemble patrimonial

Fonctions initiales : école, lieu d’habitation

Utilisations actuelles : école, lieu de mémoire

Statut et signification actuelle de l'ensemble patrimonial

Statut : propriété publique de l’Etat du Sénégal

Signification actuelle : L’ancienne école communale de Fatick, est un patrimoine colonial important car elle a joué un rôle fondamentale dans la société. Ce fut et reste un lieu d’apprentissage favorisant le vivre ensemble et l’ouverture d’esprit.

Informations complémentaires sur l'ensemble patrimonial

Sources

Bibliographie

Tradition orale

AGNE Babacar Falis, chef de service de l’inspection médicale de Fatick

DEME Yoro, agent au Conseil Régional de Fatick

DIALLO Doudou, adjoint au maire de Fatick

GOMAR Ndane, expéditionnaire à la retraite, quartier Ndiaye Ndiaye, Fatick

NDIAYE Barthélémy, directeur de l’école Moustapha Baïdy

NDIAYE Djibril, menuisier à la retraite, quartier Ndiaye Ndiaye, Fatick

NDIAYE Ngor, deuxième adjoint au maire de Fatick

SAMB Ablaye, ancien employé municipal et notable à Fatick

Sources écrites

BONNARDEL Régine, Saint-Louis du Sénégal : mort ou naissance ?, l’Harmattan, 1992, 423 p.

BOUCHE Denise, Autrefois notre pays s’appelait la Gaule… : remarques sur l’adaptation de l’enseignement au Sénégal de 1817 à 1960, Cahiers d’Etudes Africaines.

FALL Amadou, L’école au Sénégal : la question de l’adaptation. Histoire d’une problématique récurrente de 1817 à nos jours, thèse de doctorat de 3e cycle, Faculté des lettres et sciences humaines, département d’histoire, UCAD, 2002.

INSPECTION DES ECOLES DU SENEGAL, L’enseignement primaire au Sénégal de 1903 à 1920, rapport, J27 à J32, Faculté des lettres et sciences humaines, département d’histoire, UCAD

Illustrations

Photographies actuelles

Documents anciens (photographies, peintures, gravures...)

Dessins/croquis